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 John A. Draper - Apollon parmi les hommes

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Lucy P. Scott
Amun Osborne
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MessageSujet: John A. Draper - Apollon parmi les hommes   John A. Draper - Apollon parmi les hommes EmptyMar 9 Avr - 8:30


Jonathan Alexander Draper
Bonjour à tous, je m'appelle Jonathan mais mes proches me surnomment "John", je suis né(e) dans la famille Draper le 01/08/1985, ce qui me donne aujourd'hui l'âge de 27 ans, à Portland. Pour les intéressés, je suis Chanteur et musicien, et pour les plus curieux, je suis célibataire. Et en ce qui me concerne, je suis un(e) Avatar de Dieu Ancien, plus particulièrement du Dieu Grec Apollon.



♦ Moi en Quelques Mots...
Mes Qualités : Généreux, Charismatique, Amical, Travailleur, Accessible, Brillant, Confiant, Créatif, Débrouillard, Dynamique, Humble, Loyal, Ouvert d'esprit, Sensible, Sociable, Tolérant, Elégant.
Mes Défauts : Bagarreur, Calculateur, Capricieux, Coléreux, Dépensier, Lunatique, Manipulateur, Obstiné, Orgueilleux, Revanchard, Infidèle, Versatile.
Ce que j'aime :
    - la musique, la danse, l'art en général,
    - la nouveauté,
    - la cuisine italienne,
    - le tir à l'arc,
    - les histoires qui finissent bien mais qui surprennent,
    - le soleil, la plage, le beau temps,
    - profiter des belles choses, de la vie, des soirées,
    - les hommes comme les femmes,
    - le libertinage,
    - le jeu, les fringues, tout ce qui permet de claquer de l'argent,
    - le paranormal.

Ce que je déteste :
    - que l'on me mette devant le fait accompli,
    - les transports en commun,
    - la pluie, le vent,
    - que l'on me donne plus que mon âge,
    - les injustices,
    - que l'on se moque de moi,
    - les flemmards,
    - la noix de coco, les oeufs, la menthe,
    - la vieillesse,
    - la télé-réalité,
    - les provocations et les sous-entendus.



Mes Cheveux : Coupés généralement courts, couleur châtain.
Mes Yeux : Bleus, en forme d'amande.
Ma Peau : Légèrement hâlée, naturellement pâle.
Ma Taille : 1m85
Un Signe Particulier : Il a deux tatouages, un au niveau de nombril, un ange déchu et un sur le dos au niveau des omoplates, représentant un grand symbole tribal. Il lui arrive également de ne pas se raser de plusieurs jours ce qui lui donne un autre charme.

♦ Behind the Screen...
Salut les cocos ! Je suis Al', j'ai 25 ans, et je suis arrivé(e) ici par l'intermédiaire de Google. J'utilise Chace Crawford comme avatar. Le code du règlement est validé by Mii.

À Bientôt pour de nouvelles aventures !


Dernière édition par John A. Draper le Mer 10 Avr - 23:35, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: John A. Draper - Apollon parmi les hommes   John A. Draper - Apollon parmi les hommes EmptyMar 9 Avr - 8:30


LISTEN TO MY STORY

"Je me présente, je m'appelle Johnny, je voudrais bien réussir ma vie, être aimé."

Jonathan Alexander Draper, c'est mon nom complet, mon état-civil. Mais pour les gens, je suis simplement John, ou Johnny comme on me surnomme quelquefois. Je suis né le 1er août 1985, à Portland. Eh oui, je suis un enfant de la cité des roses, j'y ai grandi. Mon père s'appelle James Joshua Draper. Il est américain et exerce le métier de professeur de droit à l'université. Ma mère se nomme quant à elle Alexandra Cickalis, de son nom de jeune fille. Elle est d'origine grecque et était une ancienne chanteuse à succès dans son pays. Elle a immigré à Portland en 1970 après avoir reçu des menaces de mort de la part de la dictature grecque. Depuis son arrivée sur le sol américain, elle travaille comme serveuse dans un salon de thé. Je dois vous dire avant toute chose que je suis fils unique et que mes parents m'ont eu assez tard. Ils avaient respectivement 35 et 37 ans quand je suis venu au monde. Ils se sont rencontrés sur le lieu de travail de ma mère. Mon père a fini par tomber amoureux de cette serveuse aux yeux azurs et ils ont commencé à se fréquenter. De fil en aiguille, ils ont fini par vivre ensemble puis se marier. Et je suis arrivé ! Bon, ils ne s'y attendaient pas. A vrai dire, ils n'avaient jamais vraiment pensé avoir un enfant, encore moins à leur âge. Mais puisque la grossesse de ma mère fut détectée très tôt et qu'ils eurent neuf mois pour s'y habituer, tout se déroula pour le mieux. Je ne peux pas dire que je n'ai pas été choyé et aimé, au contraire. Mes parents m'ont en quelque sorte élevé au rang de demi-dieu vivant. Ma mère a pris l'habitude de me considérer comme son rayon de soleil quotidien. Il faut admettre que je lui ressemble beaucoup, j'ai la forme de ses yeux, ses cheveux, son visage. Elle me traitait comme une pierre précieuse, et je ne vais certainement pas m'en plaindre, d'autant qu'elle arrivait facilement à convaincre mon père de la nécessité de ce traitement. Tout petit, en guise de berceuse, elle me mettait de la musique, un mélange de folk et de country. Sans le savoir, elle traça toute ma carrière.

J'ai grandi dans un quartier calme de Portland, l'endroit idéal pour s'épanouir. Mes parents avaient ce que l'on appelle un bon rapport avec l'ensemble du voisinage. Ma mère n'avait pas vraiment laissé tomber la musique, elle n'hésitait pas à chanter pour les fêtes du quartier, dans sa langue natale et avec une puissance qui encore aujourd'hui me laissent vert de jalousie ! Et mon père, ce joyeux drille, n'hésitait jamais à inviter les gens à la maison pour partager sa table. Il gagnait beaucoup d'argent avec son travail, ce qui permettait de faire toutes ses excentricités. Et puis, il donnait des cours particuliers aux enfants des amis pour leur permettre de réussir leurs études d'avocat. Quand j'ai appris à marcher et à parler, le monde s'est ouvert à moi. C'est un peu flou, car les années ont passé, mais je me souviens que je jouais beaucoup avec d'autres gamins de mon âge, au loup, au ballon et au base-ball. Mais moi ce qui m'intéressait, c'était le tir à l'arc. Je m'en étais fabriqué un avec une branche et une corde. On jouait à Robin des bois, évidemment, je jouais le beau rôle, toujours. Je faisais ma crise, sinon ! En fait, à la maison, j'étais le petit prince, on ne me refusait rien. Je n'irais pas jusqu'à dire que c'était normal mais ça m'a toujours semblé naturel. Je reconnais que j'ai abusé de cette position pour obtenir satisfaction sur des exigences purement égoïstes et égocentrique. Et pourtant je n'ai aucun regret, après tout, je le vaux bien non ? Et puis, quelque chose d'autre m'apprit la vie : l'école...

"Être beau gagner de l'argent, pis surtout être intelligent, mais pour tout ça, faudrait que je bosse à plein temps !"

Jusqu'à présent, l'autorité, je ne connaissais pas. Ce fut réellement en classe que je compris qu'il y avait des barrières et que je ne pouvais pas toujours obtenir ce que je voulais. Et quel drame ce fut pour moi ! Je le dis, haut et fort, je déteste l'école ! D'une part parce que je n'avais plus de contrôle sur rien, et d'autre part parce que je trouve ça profondément ennuyeux. J'avais envie d'être chanteur de rock, pas de faire des maths ! A quoi cela allait-il me servir ? Au début les résultats furent médiocres, pour ne pas dire nuls. Je n'avais pas envie de travailler et ce ne furent pas les punitions qui me firent changer d'avis. Cela me valut une entrevue après ma mère. Pas le genre d'aparté pour se faire lyncher et sermonner. Ce fut à l'opposé. Elle me demanda ce que je voulais faire plus tard, je lui répondis avec envie et elle m'exposa la situation en toute franchise. Pour que mon rêve s'exauce, il fallait que j'apprenne à chanter, à jouer, du piano, de la guitare, voire du saxophone et surtout que je compte sur autre chose que mon physique. Elle me fit comprendre que la musique n'était pas un domaine facile en me racontant son histoire personnelle. Ma mère a toujours été très pédagogue et elle savait aussi l'influence qu'allait avoir son discours. Elle n'avait pas eu une vie facile. Sa beauté avait fait d'elle une star en Grèce mais quand elle avait voulu montrer son intelligence par des textes engagés contre la junte militaire, celle-ci avait littéralement ligué médias et opinion contre elle. Sa seule issue fut l'exil et depuis, elle n'était qu'une serveuse parmi tant d'autres. La gloire n'était qu'éphémère et si elle n'avait pas été instruite, elle n'aurait jamais pu apprendre l'anglais.

Ces aveux, cette explication résonnèrent comme un défi personnel. Elle m'expliqua clairement qu'elle attendait de moi de bons résultats scolaires et qu'en échange, elle veillerait à ce que j'ai des cours de musique et de chant. On aurait pu prendre ça pour du chantage mais ce fut grâce à ce procédé que je me mis à bosser sérieusement. En même temps, aujourd'hui avec le recul, je dois admettre qu'elle avait raison. A notre époque, tout est basé sur le physique. Tu es beau, tu as la classe, alors voilà, le monde t'appartient pour une soirée. Mais si tu as du talent et de l'intelligence, c'est l'Histoire qui t'appartient pour l'éternité. Et puis, comme dirait l'autre, je ne suis pas plus con que la moyenne. En bossant et en y mettant de la bonne volonté, je fis de gros progrès. Evidemment, le plus important pour moi fut la musique. J'appris à jouer du piano, de la guitare et à chanter. A chaque repas familial, je voyais la réception comme une scène pour moi. Autant dire que me déchaînais sur Elvis, sur les Stones ou encore sur Mickael Jackson. J'avais séduit mon premier public : mes voisins ! Non, ne souriez pas, ça commence toujours comme ça quand on est voué à être le meilleur !

Et partout dans la rue, j'veux qu'on parle de moi, que les filles soient nues qu'elles se jettent sur moi, qu'elles m'admirent qu'elles me tuent, qu'elles s'arrachent ma vertu !

J'avais douze ans quand ma voix a commencé à muer. Ce ne fut pas évident de bien la contrôler. Mais avec les conseils de mon prof de chant, j'y parvins tout de même. Ce fut aussi vers cet âge que les choses commencèrent à évoluer pour moi. A force de jouer dans les spectacles de l'école et devant le voisinage, mon nom circula à l'extérieur, dans les oreilles des quelques chasseurs de talent qui parcouraient la ville. L'un d'eux s'invita un week-end lors d'une fête de quartier et me regarda faire mon show. A la fin de celui-ci, il aborda mes parents pour discuter avec eux. Je ne fus pas mis au courant de suite, trop occupé à me concentrer sur les quelques textes que ma mère m'avait aidé à écrire. Mais on m'expliqua tout le soir, au retour à la maison. Une maison de disque me proposait quelques essais pour sortir un album et voir ce que ça donnait. Mes parents me trouvaient trop jeune pour ça mais la perspective de voir une opportunité m'échapper, ne leur était pas envisageable. Ils acceptèrent, sous conditions. Le premier essai fut catastrophique car j'étais beaucoup trop stressé. Et puis ma mère m'a accompagné au piano, et elle a fait venir des amis dans la salle, pour me faire oublier le côté très sérieux des lieux. J'ai commencé à chanter, mes propres textes, ceux que ma mère avait écrit. Et puis j'ai enchaîné avec des reprises, de Queen, de James Brown... J'ai finalement obtenu un contrat de production pour un album. Et puis on enchaîna avec la campagne de promo à la radio et surtout à la télévision.

Je dois reconnaître qu'être sous le feu des projecteurs, quand on a 14 ans, c'est extrêmement angoissant et en même temps très motivant. Il y a tellement de challenges à accomplir que tout devient un prétexte pour se surpasser. A ma grande surprise et à celle de mes parents, cet album rencontra un succès inattendu, notamment auprès des ados. Et forcément, l'hystérie ne fut guère loin... Avec ce début de célébrité, les choses commencèrent à me monter à la tête. Je me voyais déjà, en haut, tout en haut de l'affiche. Ce fut aussi l'occasion de ma première fois avec une fille, une fan, alors qu'elle me demandait un autographe sur un de ses sous-vêtements, les choses prirent une autre tournure. Elle était plus âgée que moi, forcément plus expérimentée. Mais ce fut vraiment un moment bref, dont je ne suis pas très fier, je l'admets. Mais bon, depuis je me suis amélioré et c'est ce qui compte ! La seule chose avec laquelle je n'avais pas vraiment de rapport, c'était l'argent. Mes parents contrôlaient tout et veillaient à l'épargner pour qu'il me serve plus tard. Un choix sage mais pas assez fort pour m'empêcher de changer. La notoriété, la folie des déplacements gonfla mon orgueil, j'en voulais plus, infiniment plus.

Et quand j'en aurais assez de rester leur idole, je remonterais sur scène comme dans les années folles, je ferais briller mes yeux, je ferais mes adieux.

En pleine crise d'adolescence et en pleine ascension, je me rendis vite compte que je ne contrôlais plus rien de ma vie. Et cela me mit en rogne. S'il y avait quelque chose que je supportais pas, c'était que l'on se permettre de décider à ma place. J'ai décidé de manifester mon désaccord, d'envoyer paître journalistes et agents qui étaient de plus en plus sur mon dos. Et puis, j'ai décidé de tout arrêter. Mes amis ne comprirent pas vraiment le but de la manoeuvre. Il était pourtant simple, en me faisant petit et en laissant tout retomber, je me préparais le terrain pour un retour en force. Et cette fois, ça n'était pas que les ados que j'allais conquérir mais tous les autres. Sauf qu'il y eut un impondérable à tout cela. Mon père fit une crise cardiaque un peu après que j'ai fêté mes 17 ans. Amené d'urgence à l'hôpital, il fut opéré en catastrophe et s'en sortit. Mais son état de santé ne lui permettait plus de travailler. Et comme mes parents avaient tout donner pratiquement pour le crédit de la maison, les cours de piano et pour moi, leur situation financière fut particulièrement tendue. Je mis la musique entre parenthèses même si elle me rapportait quand même. Par le biais de ma mère, j'ai compensé les manques, réglé les factures. L'idée de perdre mon père me terrifiait. Certes, j'avais toujours été plus proche de ma génitrice, pourtant, avec le paternel le lien était fort, complice. Il avait mis ses connaissances en droit à ma disposition pour me protéger au maximum. Immédiatement, cette situation m'inspira et je mis en écrire plusieurs textes, sans arrangement. Deux mois après sa crise cardiaque, mon père fit une attaque qui le laissa complètement paralysé. A la maison l'ambiance avait changé. Plus de dîners, de fêtes... ma mère déprimait et moi aussi. Je commis l'erreur de me réfugier dans l'alcool en cachette... L'ivresse me permettait d'oublier les malheurs de mon père, même si elle ne put jamais les guérir.

Et pis l'année d'après, je recommencerais, je me prostituerais, pour la postérité, les nouvelles de l'école, diront que j'suis pédé, que mes yeux puent l'alcool, que j'ferais bien d'arrêter. Ils brûleront mon auréole, saliront mon passé.

Le succès avait duré un temps et je n'eus ni la force, ni le courage de reprendre ma carrière où je l'avais laissé. L'alcool aidant, je me mis à m'éloigner de tout ce monde qui je connaissais. Et j'ai commencé à traîner dans des endroits mal famés. Jamais je n'ai touché à la drogue, ce fut mon seul honneur. Parce que pour me payer mes verres et mes ardoises, j'eus recours à des relations sexuelles tarifées. J'étais beau gosse, j'avais du charme. Comme très très peu de femmes étaient intéressées, je finis par me tourner vers les hommes, plus nombreux. Ce fut à partir de cette instant là que je découvris ma bisexualité. Mes malheurs avaient attiré les paparazzis, toujours prêts à prendre la photo compromettante. C'est ainsi qu'un cliché de moi en train d'embrasser un type fit la une d'une journal à scandales et fut relayée à travers tout le pays. Ma mère l'apprit par une voisine et manqua en crever. J'eus beau lui expliquer, rien n'y fit. Elle refusait d'avoir un alcoolique sous son toit et un prostitué. Ce n'était pas tant mon attirance vers les hommes qui la choqua mais le fait qu'elle ne me reconnaisse plus. Elle refusa mon argent et se mit aux heures supplémentaires pour tout payer toute seule. La honte m'habitait, parce que je ne pouvais plus la regarder dans les yeux. J'avais brisé quelque chose. Son rejet fut un électrochoc. Je me souviendrais toujours de cette journée du 6 mars 2005, j'avais 20 ans. J'ai arrêté de boire, de vendre mon corps. J'ai repris un stylo et j'ai écrit.

Alors je serais vieux, et je pourrais crever, je me chercherais un Dieu pour me faire pardonner. J'veux mourir malheureux, pour ne rien regretter.

Je n'ai pas cherché à me faire pardonner par l'opinion, par les fans. J'ai rétabli la vérité, en composant un second album que j'ai diffusé via Youtube, Myspace et Deezer, sans passer par une maison de disques. Et ce fut un carton. Cette fois, mon public avait grandi, en même temps que moi, il sembla comprendre mes épreuves, mes faiblesses et les accepter. Je fus à nouveau recontacté par des agents mais cette fois, je mis un refus catégorique à toute proposition. Pas parce qu'elles étaient malhonnêtes mais parce que j'avais trouvé le bon équilibre entre ce que j'aimais faire et ce que je voulais fuir. Les années se succédèrent, jusqu'à ce qu'en 2011, je fasse un nouvel album. Sur celui-ci, parce qu'il y avait beaucoup de musiciens, je fus obligé de passer par un studio pour prendre en charge les coûts. Et à nouveau, le succès fut au rendez-vous. Pour me racheter aux yeux de ma mère, je fis de nombreux dons en m'arrangeant pour que certains lui parviennent directement. Mais malgré cette générosité, je ne pus m'empêcher de succomber à ma vie de prodige... L'argent m'échappait des mains comme du sable. Et aussi déterminé étais-je, mes habitudes libertines et versatiles gardèrent le dessus.

Aujourd'hui, tout semble aller pour le mieux, j'ai une belle carrière musicale qui se construit devant moi. Et pourtant, je ne suis pas sûr d'aller pour le mieux. Depuis quelques mois j'ai remarqué que j'avais des absences... des sortes de prémonitions. Je crois que je suis médium, mais je n'en suis pas sûr. C'est comme si j'entrais en transe pendant des heures alors que ça dure quelques secondes. Ce que je vois, se réalise vraiment. Et s'il n'y avait que ça. J'ai le sentiment de ne plus être moi-même... d'avoir les pensées d'un autre. Paradoxalement, je n'ai jamais été aussi doué pour l'arc et pour la séduction. Je vais enquêter sur la question. La paranormal m'a toujours un peu passionné, et j'ai vu des cas de possessions mystiques. J'espère simplement que j'arriverais à tout expliquer rapidement.




Dernière édition par John A. Draper le Mer 10 Avr - 23:34, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: John A. Draper - Apollon parmi les hommes   John A. Draper - Apollon parmi les hommes EmptyMar 9 Avr - 8:38

Bienvenue Apollon Lapin
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MessageSujet: Re: John A. Draper - Apollon parmi les hommes   John A. Draper - Apollon parmi les hommes EmptyMar 9 Avr - 9:45

Oyeah Aon

Bienvenue à toi, Apollon ! En plus, ça lui va particulièrement bien Piti Coeur J'ai validé ton code ! ^^

Bon courage pour ta fiche ! Youpii
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MessageSujet: Re: John A. Draper - Apollon parmi les hommes   John A. Draper - Apollon parmi les hommes EmptyMar 9 Avr - 14:52

Ha bah, les dieux grecs se remplissent! Salut Polo, bienvenue sur le forum et bonne fiche. Hâte de te compter parmi mes frangins. Nous faudra un lien! =)
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MessageSujet: Re: John A. Draper - Apollon parmi les hommes   John A. Draper - Apollon parmi les hommes EmptyMar 9 Avr - 21:57

Bienvenue Apollon Aon bon courage pour ta fiche et amuse toi bien parmi nous Aon
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MessageSujet: Re: John A. Draper - Apollon parmi les hommes   John A. Draper - Apollon parmi les hommes EmptyMer 10 Avr - 23:38

Merci pour votre accueil.

Ravi de vous rejoindre. Very Happy
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MessageSujet: Re: John A. Draper - Apollon parmi les hommes   John A. Draper - Apollon parmi les hommes EmptyMer 10 Avr - 23:48

Bienvenue ♥ J'aime beaucoup ta fiche soit dit en passant =D
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MessageSujet: Re: John A. Draper - Apollon parmi les hommes   John A. Draper - Apollon parmi les hommes EmptyMer 10 Avr - 23:54

Superbe background !! J'ai dévoré littéralement ! Nous faut un lien !! Ayaaah

Tu es Validé !
Félicitations !

En tant que nouveau membre du forum, pense à remplir tes champs de profil (sous ton avatar). Tu peux dès à présent aller demander un rang ici, des liens ici, créer ta fiche de sujets ici, et ton portable ici.

Tu es vivement invité aussi dans le flood, sur la Chatbox et dans les jeux ! Have Fun Wink

Oh et une dernière chose ! Pense à cliquer toutes les deux heures sur le petit symbole pour nous aider à grimper sur le top-site ! Ça nous ramènera du monde =D



Amuse-toi bien parmi nous ! I love you
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