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 JERRICA X if you're going through hell, keep going [Hot]

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David Applegate
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David Applegate


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MessageSujet: JERRICA X if you're going through hell, keep going [Hot]   JERRICA X if you're going through hell, keep going [Hot] EmptyLun 18 Fév - 1:33

La journée avait été pitoyable, comme celle d'avant. Il avait osé se pointer à un goûter d'anniversaire jeudi avec un coup dans le nez. Les parents n'avaient pas apprécié, même si pour les gosses, le show était à la hauteur du tarif du magicien. Il avait d'ailleurs loupé ses tours les plus simples, sûrement parce qu'il n'avait plus l'envie de se concentrer sur des choses aussi futiles maintenant qu'il avait tout perdu. Et oui tout. Femme, fille, son rêve, la vie qu'il voulait, sa dignité aussi, son intégrité. Ne restait plus qu'il ne perde la tête pour compléter le tableau de rêve qu'il se vendait à lui-même tous les matins devant son miroir. Et pourtant, il avait du mal à regretter ses actes. Cette nuit passée avec une parfaite étrangère, dans le lit qu'il partageait habituellement avec sa femme qui refusait avec obstination de se laisser approcher depuis des mois -peut-être même des années, il ne se souvenait plus très bien- avait été un moment d'extase sans nom. Une revanche qu'il prenait sur la vie et sur tout le reste. Même si Helena ne l'avait pas pris de cette façon. D'ailleurs à la réflexion, il était presque sûr que finalement, il n'avait fait que lui donner un prétexte pour enfin oser franchir le pas. Peut-être même qu'elle l'aurait fait de toute façon. Comme elle lui avait si bien dit, il y a bien longtemps qu'il avait cessé d'être l'homme qu'elle avait choisi d'épouser, il y a de ça 10 ans.
Un verre de rouge à la main, il déambule dans leur petite maison de Peacock Lane où rien n'a bougé, si ce n'est les deux-trois -huit pour être exact- bouteilles de vin qui s'aligne sur le comptoir de la cuisine à l'américaine. Dans le salon, il a négligé de vider les cendriers qui tronaient à l'extérieur, Helena refusant avec obstination qu'il fume son tabac ou tout autre chose dans le lieu de vie de leur fille. Alors maintenant qu'elles étaient toutes les deux parties et n'avaient aucunement l'intention de revenir, qu'elles aillent au diable ! Si il voulait marcher avec ses chaussures au pied, il allait le faire ! Si il ne voulait plus faire de vaisselle, il ne la ferait plus. Qu'Helena aille au diable, elle et toutes ses pseudo règles de vie qui n'avaient réussi qu'à rendre leur quotidien aussi stérile que leur relation. Assis dans le canapé -ou plutôt affalé- il finit de rouler un joint avec concentration, le verre de rouge en équilibre sur son ventre.
La sonnette le fait sursauter, renversant le verre de rouge sur le tapis du salon. Heureusement, plus personne n'est là pour râler après lui dans ces cas-là. Il finit de rouler la feuille et d'un geste négligeant, éloigne le verre qui roule sur le sol. Il n'ira pas bien loin maintenant de toute façon. La chemise à moitié ouverte, retroussée jusqu'au coude et les pieds nus, il fait un peu peine à voir avec son air encore à moitié endormi. Du fond de sa poche, il tire un briquet et allume le joint coincé entre ses lèvres. Tant pis si il s'agit d'un représentant des services sociaux qu'Helena lui a sûrement mis sur le dos pour lui retirer définitivement la garde de Suzie. Il tire lentement le battant de la porte, inspirant les effluves de la drogue, découvrant sur le palier un visage auquel il ne s'attendait vraiment. Une ado qui vient régulièrement donnée des cours à Suzie, c'est quoi son nom déjà ? Il la dévisage longuement, accoudé contre l'encadrement de la porte, expirant la fumée odorant au visage de la brunette sans trop se soucier du fait que fumer de la marijuana était interdit sans ordonnance, tout comme rendre une adolescente fumeuse passive d'une drogue douce. Toute façon, il fait trop froid pour que les voisins pointent leur nez dehors et viennent épier les restes de l'Applegate.
-Jerry c'est ça ? Entre. Fais comme chez moi. Ou comme chez toi. Comme tu veux.
Il ouvre la porte en grand, lui laissant le passage libre alors qu'il retourne dans la cuisine, cherchant un verre propre dans les placards mais apparemment, il faudra se rabattre sur les grands verres qu'Helena réservait pour la consommation d'eau ou de jus de fruit le matin. Il le remplit au trois quart du liquide rouge profond de son picon avant de retourner s'affaler sur le canapé. Qu'elle aille donc donner des cours à cette ingrate de fille qui refuse de lui parler, ça lui fera du bien de suer un peu, comme lui a sué toute sa vie pour lui donner un minimum de confort. Il continue à tirer sur le joint, soufflant la fumée en l'air, la tête reposant sur le dossier du canapé, les yeux mi-clos. Qu'ils aillent tous se faire mettre, tant qu'il est bourré et shouté, il s'en fout.
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Jerrica R. Favorite
Everybody knows I'm a motherfucking monster.
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MessageSujet: Re: JERRICA X if you're going through hell, keep going [Hot]   JERRICA X if you're going through hell, keep going [Hot] EmptyLun 18 Fév - 16:32

can i use you like a whore ?
Use me when you want to come. I've bled just to have your touch, When I'm in you I want to die. Use me like I was a whore, Relationships are such a bore... Deleted the ones that you've fucked. User friendly fucking dopestar obscene, Will you die when you're high ? You'd never die just for me. So I said : "I'm not in love, but I'm gonna fuck you 'til somebody better comes along". But this time, Use me when you want to come, Use me like I was a whore. We know relationships are such a bore.

Certaines petites maisons sur le bord de la route avaient encore leurs décorations de Noël, scintillant dans le ciel sombre de cette fin d'après midi qui avait déjà l'odeur de la nuit; cette odeur froide de neige, de silence et d'effluves citadines. Jerrica marchait tranquillement le long d'un trottoir encore encombré de neige, ses converses noires s'y enfonçant mollement en un bruit similaire à celui qu'on pourrait faire en marchant sur du liège. Son sac sur le dos, le visage enfoncé dans le col en fausse fourrure de son anorak un peu démodée, la jeune fille se rendait en fin de Peacock Lane, chez les Applegate pour donner des cours de soutien en maths à la fille de la famille, Suzie.

Jerrica se fichait un peu des progrès de l'autre adolescente, une gamine de treize qu'elle ne trouvait pas dégourdie, au regard bovin quand elle lui donnait des explications; peu importait. Ce qui l'intéressait c'était les dix dollars que ses vieux lui refilait quand elle avait fini l'heure obligatoire, et qu'elle pouvait renter chez elle. Le chemin du retour dans la nuit lui plaisantait toujours beaucoup: elle se perdait en introspection sous les réverbères de la ville, marchant à son rythme en écoutant de la musique comme l'adolescente solitaire qu'elle était, et ne cesserait peut-être jamais d'être.

L'allée était comme le retour, calme et solitaire; mais la semi lumière du jour décroissant lui plaisait moins que l'obscurité comme familière. La brune tira une dernière latte sur sa cigarette qu'elle envoya valser dans un des pots de fleurs des voisins des Applegate, avant de monter le seuil et d'appuyer sur la sonnette, attendant patiemment. Un dernier regard sur son portable, couper Sopor Aeternus et attendre. Monsieur Applegate lui ouvrit, visiblement débraillé: la chemise à moitié ouverte, les manches retroussées et pieds nus. L’adolescente le regard sans sourire, comme à son habitude, mais sans ciller et quand il souffla sa fumée sur elle, elle coupa sa respiration par habitude.

"Jerrica, m'sieur"
, corrigea-t-elle.

L'odeur lui était bien familière, elle qui fumait à l'occasion un peu de shit et de marijuana, comme quantité d'ados. Elle haussa vaguement les épaules et entra à la suite de l'homme, ne se souciant guère de son état: elle n'était pas là pour lui. Jerrica ne le salua pas vraiment, passant la porte en déposant son sac dans l'entrée, le laissant partir en direction de la cuisine. Elle laissa son anorak garni d'un peu de neige sur le porte-manteau de l'entrée, secouant un peu ses cheveux et se grattant l'arrière de la nuque endolorie par le froid, tirant sur les manches de son sweat noir qui avait l'air une taille au dessus.

Avec son slim noir d'encre, ses Converses noirs, ses cheveux ailes de corbeau et ses yeux bleus très clair, additionné à sa pâleur, Jerrica avait tout de l’adolescente morne qui ne souriait jamais et écoutait de ma musique déprimante. Mais mrs. Applegate avait vu des progrès chez Suzie depuis qu'elle employait la brune, et cela lui semblait suffisant. Tant qu'elle ne fumait pas à l'intérieur. Quant à monsieur Applegate, Jerrica ne lui avait jamais parlé plus que "bonjour" et "au revoir". Rien de spécial.

Suzie n'était pas dans sa chambre; d'ailleurs elle n'était nul part. Pas plus que sa mère. Jerrica resta une minute à réfléchir, plissant les yeux en jouant avec les anneaux larges qu'elle portait à presque tout les doigts. Le schéma lui sembla si simple avec monsieur Applegate bourrée et défoncé qu'elle en eut un vague sourire et se dirigea vers la cuisine d'un pas nonchalant, faisant comme chez elle.

La vaisselle nauséabonde baignait dans sa propre crasse depuis assez de temps pour donner l'impression de commencer à être vivante: il n'y avait plus de femme ici, de toute évidence. Elle avisa le panier de fruit sur la table et tria une pomme qui n'était pas encore pourri, la coinçant entre ses dents en en prenant une autre avant de retourner au salon, sachant que monsieur Applegate s'y trouvait.

Elle le trouva avachi comme un soudard sur le canapé, les yeux ronds: il planait bien, visiblement. La jeune fille mordit dans son fruit et le reprit à la main en mâchonnant mollement.

"Si votre femme s'est tirée avec votre gamine, j'ai plus besoin de venir alors ?", demanda-t-elle très pragmatiquement.

Elle n'avait aucun sourire, aucune expression de compassion: rien, juste une neutralité faciale habituelle. Aucune réaction. Jerrica prit un instant pour viser l'homme et lui envoya la pomme sur le crâne, comme pour l'haranguer.

"J'ai du meilleur skuff si vous voulez", fit-elle en fouillant dans la poche arrière de son jeans pour en sortir un sachet contenant des boules de poudre résineuses brun-vert, un paquet de feuilles OCB et un briquet, "et c'est large mieux que votre merde, c'est rapide et brutal."

Jerrica commença à se rouler un joint en brulant une boulette, l’effritant.

"Je fais comme chez moi, comme vous avez dis", se moqua-t-elle avec un vague sourire, sa pomme encore en main.
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David Applegate
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MessageSujet: Re: JERRICA X if you're going through hell, keep going [Hot]   JERRICA X if you're going through hell, keep going [Hot] EmptyMar 19 Fév - 22:05

Toujours affalé dans le canapé, il n'avait toujours pas percuté le fait que si Helena était partie avec Suzie et que donc, elles ne vivaient plus ici, il allait être compliqué pour sa tutrice de lui faire des cours de soutien en maths. Mais ça non, ça ne lui effleure pas l'esprit, comme si il tentait de s'accrocher aux derniers restes d'un quotidien bien rodé. Des années à faire la même chose, à adopter la même routine, ça vous rentrait dans le crâne et même en situation de crise on finit par ne plus réussir à sortir de ce schéma oppressant qui pourtant vous a littéralement pourri la vie. Il tire à nouveau sur le joint tordu, roulé de manière approximative. Mais il faut dire que depuis Vegas, il n'avait plus fumé d'herbe et malheureusement pour lui, ce n'était pas comme faire du vélo, ce genre de choses s'oubliait. Et puis c'était il y a tellement longtemps. Un temps où il était heureux et à vrai dire, il n'arrivait même plus à se souvenir du moment précis où il avait cessé d'éprouver du plaisir dans la vie, si ce n'est maintenant, à jouir comme il l'entendait de vin et de drogues douces, même si une présence féminine aurait achevé de le combler. Les paroles de l'adolescence l'étourdissent un peu. C'est vrai, elles ne sont plus là. Il penche la tête en arrière un peu plus, de façon à pouvoir la voir à l'envers. Elle fait un peu peur pour dire vrai, avec ses vêtements noirs. Et puis elle est tellement jeune, rien d'autre qu'une gamine, qu'est-ce qu'elle peut avoir vécu pour être aussi morose. Rien d'autre qu'une gosse, comme Suzie qui pensait avoir tout vécu parce que son père n'était pas l'homme parfait qu'elle aurait rêvé d'avoir, qu'il avait ses gros défauts et son lot de déceptions. Et celle-là n'était pas différente de sa fille à vrai dire. Juste un peu plus vieille, un peu plus femme, mais pas moins inconsciente de tout ce que lui réservait la vie.
-Fais ce que tu veux, je m'en fous.
Il redresse la tête, fixant le mur avant d'écraser le reste du joint contre le cuir du canapé. Ca laissera sûrement une marque et Helena sera ravie de la découvrir quand elle voudra récupérer tous les meubles qu'elle a soigneusement choisi pour la décoration de la tombe de leur vie conjugale. Un truc heurte le haut de son crâne au moment où il plonge ses lèvres dans le verre de rouge, ses dents butant contre le bord du récipient disproportionné au vue de ce qu'il contenait. Il se retourne brusquement, fronçant des sourcils.
-T'es malade ou quoi ?
Il la regarde, l'air interdit. Qu'est-ce qu'elle veut au juste ? De l'argent ? Il n'est même pas sûr d'avoir assez pour la payer de toute façon. Il ne la quitte toujours pas du regard quand elle sort les boulettes foncées de la poche arrière de son jeans. Décidément, les générations ont bien changés et il ne peut s'empêcher de souhaiter du plus profond de son coeur que Suzie n'en est pas rendue là et que ses petits poumons sont toujours aussi roses et pures que son père l'imagine. Puis finalement, il se reprend et dégage les coussins amassés à sa gauche sur le canapé et tapote le cuir presque neuf, si bien entretenu par la parfaite femme d'intérieur qu'était son épouse, invitant l'adolescente à prendre place à côté de lui. Peu importe ce qu'elle était en train de préparer avec son briquet et tout son matériel, tant que ça lui permettait de quitter un peu plus la réalité, tout lui convenait. Il lui tend même le verre de rouge après en avoir de nouveau bu une gorgée puis finit par le poser sur la table basse pour attraper un paquet tordu et abîmé, presque vide, qui trônait un peu plus loin. Un verre à pied pour cendrier, il allume la cigarette, prenant un malin plaisir à recracher la fumée dans la pièce à vivre familiale. Ca oui, c'est fini l'air pur et aéré qu'il retrouvait tous les soirs en rentrant des goûters d'anniversaire insipides qu'il animait pour gagner sa vie.
-Bon c'est quoi ton machin là ?
Il observe un moment les gestes de la jeune fille, précis et rapide comme si elle avait fait ça toute sa vie. Dire qu'à son âge, il jonglait entre deux emplois, tentant de joindre les deux bouts pour vivre la vie dont il rêvait .... Les choses avaient bien changé.
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MessageSujet: Re: JERRICA X if you're going through hell, keep going [Hot]   JERRICA X if you're going through hell, keep going [Hot] EmptyMer 20 Fév - 22:18

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Monsieur Applegate la fixa un moment depuis le canapé, renversant sa tête en arrière dans une position grotesque. Jerrica ne dit rien, se contentant de le regarder. Soit, elle ferait ce qu'elle voudrait puisqu'il s'en fichait; l'air charria une odeur de chanvre et de cuir bouilli chauffé à blanc, âcre et désagréable: l'homme avait écrasé son joint sur un bout du canapé, sans respect pour son intérieur. Mais dans son état... elle haussa vaguement des épaules en lui jetant la pomme sur la tête; la surprise du type est inéluctable, et l'adolescente le regarda d'un air un peu rogue, provocatrice et distante à la fois, gardant ses positions. Elle le lui répondit pourtant absolument rien: elle-même n'avait cherché qu'à capter réellement son attention, rien de plus; rien de réellement construit.

A cet instant, Applegate la regarda enfin, comme elle le souhaitait. La brune eut un vague sourire satisfait en retournant à sa besogne d'efrittage, comme si une fois l'attention obtenue elle devenait accessoire. Jerrica sentit le regard de l'homme sur elle tandis qu'elle se roulait nonchalamment son joint, sans hâte: elle n'aimait pas tant cela mais parfois un peu de drogue douce lui passait le temps: une marotte d’adolescent qui dans sa tête lui passerait dès le bon âge atteint: celui où l'on perd le temps de faire des choses inutiles, le temps d'errer en futilités.

Son téléphone sonna un court instant, diffusant une vieille chanson dont le titre se perdait dans les méandres de la culture gothique américaine. L'adolescente termina son joint à la forme sans recherche réelle, mais sans bavure. Juste une habitude: Jerrica n'aimait pas les choses bâclée, même pour les joints. C'était une fille renfermée et méthodique à l'allure d’adolescente dépressive, les cheveux bien lissés et le regard cerclé de noir, des anneaux à tout les doigts, le cou alourdi de pendentifs représentant un casque d'hoplite grec et le symbole de Niké, déesse de la victoire: un amas de références ésotérico-mythologico-prout-prout d'ado qui se sent à part, esquivant la mode actuelle.

Jerrica s'assit à côté du père de Suzie sans demander son reste, collant son joint aux bord de ses lèvres pour l'allumer avec patience. Elle prit une première bouffée puis une seconde, très rapides. Quelques secondes de latence: aucun effet. Ses eux étaient toujours aussi limpides et son expression neutre, mesurée: les drogues douces n'avaient étrangement presque aucun effet sur la jeune femme, comme cela arrivait en de rares termes, pour certaines personnes. Elle fumait surement plus pour une image que pour le fait de planer. De toute façon décrocher de la réalité -à l’inverse de l'épave humaine qui trônait à ses cotés- n'était pas son violon d’Ingres.

Elle ne répondit pas à Applegate; les questions d'un ivrogne défoncée n'avaient pas besoin de réponse. Mais elle lui sourit, simplement. La faiblesse mentale de certains individus était une aubaine: cela faisait un moment que l'adolescente avait sa petite idée en tête et le moment, l'occasion et la configuration lui permettraient de faire son petit plan, cette fin d'après-midi.

La brune prit une bonne bouffée de son joint, écrasant le reste sur le coin de la table basse avant de s'assoir à califourchon sur le giron du trentenaire perché, sans lui demander son avis. Elle posa ses mains de part et d'autre de sa bouche pour former un pont vers celle d'Applegate et lui envoya toute la fumée directement dans la gorge, avec soin et habitude: ce genre de bang-là défonce à coup sûr, mais pour une très courte période. L'intérêt tait de le faire monter le plus rapidement possible et de profiter de la dépression en devenir.

Pendant l'opération, la jeune femme en profita pour frotter son entrejambe à celle de l'homme, avec une insistance sans faux-semblant, sans concession: elle cherchait tout simplement, plus qu'à l'allumer, à le masturber. Peut-être Applegate la repousserait-il, mais elle en doutait fort: le mélange d'alcool et de drogue douce avant tendance à avoir raison de la volonté des gens. Et l'occasion faisait le larron. Collant son front au sien, la brune insista un peu plus contre le giron du type, comme pour l'inciter, un sourire aux lèvres.

"Je fais comme chez moi", dit Jerrica sans chaleur avant de rajouter, "tu peux faire comme chez toi avec moi."

Peut-être était-ce aussi facile que cela, en fin de compte: mettre de côté un instant ce qu'on aimerait oublier. Elle se craqua désagréablement les doigts avant d'écarter les pans de la chemise froissée de monsieur Applegate pour ouvrir les derniers boutons fermés avec une étrange patience, un curieux soin dans le mouvement, le regard clair posé sur son entreprise: aucun signe de planage en vue; Jerrica avait l'air tout à fait lucide, comme si elle n'avait rien prit. Le chanvre n'avait aucun effet sur elle.

Au contraire son regard était aussi concentré que ses gestes, un peu rapaces, décidés.
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David Applegate
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MessageSujet: Re: JERRICA X if you're going through hell, keep going [Hot]   JERRICA X if you're going through hell, keep going [Hot] EmptyVen 22 Fév - 1:04

C'est sans une réaction, les bras allongés sur le dessus de l'assise du canapé qu'il la laisse venir s'asseoir sur lui. A vrai dire, pendant de longues secondes, rien de tout cela ne lui apparaît comme anormal, comme si elle avait tout à fait le droit de se trouver ici, comme si elle l'avait toujours fait et que ce n'était rien d'autre qu'un geste aussi banal que celui d'enfiler ses chaussettes-quoique pour un type pied nu, ce n'est peut-être pas la meilleure des comparaisons-. Pas de réaction non plus quand elle pose ses mains fraîches autour de sa bouche pour lui insuffler la fumée du joint. Le goût âcre de la drogue s'infiltre dans ses poumons, accentuant toutes les autres substances qui avaient depuis un moment remplacé le sang dans ses veines. Il ferme les yeux, tête penchée en arrière, savourant un instant l'effet délicieux de se sentir complètement hors du monde, de perdre contrôle. Comme si son corps ne lui appartenait plus vraiment, que son esprit en était dissocié et que les deux évoluaient séparément dans une sphère doucereuse. Ce ne sont que les mouvements de bassin contre son entrejambe qui le réveille de cette plénitude. Son regard clair se pose sur l'adolescente qui lui susurre des mots qui ne font pas sens dans son esprit. Malgré lui, il se sent réagir aux frottements répétés de son bassin et par réflexe, il agrippe ses reins, cherchant à la faire stopper immédiatement. Mais l'effet récolté est bien différent puisqu'il ne réussit qu'à accentuer la tension qui s'opère dans ce geste pourtant simple.

Et pendant quelques instants, David songe à simplement ne rien faire. La laisser le déshabiller, faire ce qu'elle veut de son corps alors qu'il sirotera un verre de vin. Ne s'était-il pas dit l'instant d'avant que tout ce qui lui manquait, c'était une femme, à genoux entre ses jambes ? Mais c'était bien ça le problème. C'était une femme qu'il voulait, pas une adolescente. Elle devait avoir quoi, 3-4 ans de plus que Suzie ? Mais dans son esprit, 5 ans de différence d'âge avec sa fille, c'était tellement court. Ce n'était rien d'autre qu'une gosse et même si il avait du mal à y voir clair, il n'allait sûrement pas accepter ce genre de choses. Et si c'était un plan tordu d'Helena pour lui retirer définitivement la garde de sa fille ? Prouver au juge qu'il sautait sur tout ce qui bougeait, y compris des donzelles tout juste majeures ? Il attrape brutalement les poignets de Jerrica alors qu'elle achève de déboutonner sa chemise. Il serre sûrement trop fort, oubliant la force qui régnait toujours dans ce corps qui lui semblait tellement mort la plupart du temps. Soudain, ce n'est plus le gentil ivrogne défoncé qui lui fait face mais bien l'homme, un homme en colère, baignant dans l'incompréhension la plus totale, comme si pendant quelques secondes, sa lucidité a refait surface. Il se redresse sans la lâcher ni des mains ni du regard.
-Qu'est-ce que tu fous ?
Il n'est pas aimable et sa voix est froid, rauque. Ce n'est rien d'autre qu'une gamine, son cerveau n'arrête pas de lui repasser en boucle cette information même si son corps semble trouver que la présence de Jerrica à califourchon sur ses reins est tout à fait plaisante. Il regarde les mains de l'adolescente et ses bagues, ses colliers, son maquillage trop appuyé. Autant de signes qui devraient faire sens dans son esprit pour lui rappeler que c'est un terrain interdit. Mais ses pensées sont embuées et il a du mal à réfléchir. Sans cérémonie, il la bascule sur le canapé, se relevant avec son verre de vin. Il fallait qu'il marche, qu'il tente de faire le tri dans ce qui se passait. Parce qu'avec un faux pas pareil, il risquait tout simplement de finir en prison. Si ça se trouve, la gamine était même encore mineure. Finalement, après avoir vidé près de la moitié du verre, il revient vers le canapé, ne cherchant même pas à cacher la bosse hautement significative de l'effet qu'elle avait pu lui faire tout à l'heure. Pendant un long moment, il l'observe avant d'attraper ses mâchoires d'une main mais sans violence, faisant ensuite glisser un à un ses pendentifs entre ses doigts un peu moites.
-C'est quoi ces merdes ?
Il s'essuie le visage d'un revers de manche. La défonce tout comme les évènements passés commencent à lui donner chaud.
-T'as quel âge au juste ? Quinze ans ? T'as un trip avec les vieux parce qu'aucun boutonneux a voulu de toi ?
Il la fixe droit dans les yeux, ne cherchant pas spécialement à la vexer même si ses paroles sont dures. L'alcool lui a fait perdre toute retenue et son savoir vivre est un très lointain souvenir. De toute façon, au point où il en est, ce n'est pas comme si il avait encore quelque chose à perdre.
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MessageSujet: Re: JERRICA X if you're going through hell, keep going [Hot]   JERRICA X if you're going through hell, keep going [Hot] EmptyMar 26 Fév - 1:04

can i use you like a whore ?
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Le contact avec le membre qui se réveille doucement avait quelque chose d'électrisant, même pour une fille aussi terre-à-terre que Jerrica. Et si monsieur Applegate lui saisit les reins pour tenter de la faire stopper, elle le sait bien, cette drôle de fille fatale, qu'elle a une chance de lui infuser son poison pour l'obtenir. Les refus ont ce petit quelque chose d'amusant chez les hommes que souvent, ils ne sont que des invites: enfin dans sa vision du sexe masculin, salie par les abus de son oncle. Les hommes sont faibles, les hommes sont des porcs. Ils prennent les choses de forces et salissent tout ce qu'ils touchent; son regard inerte, froid, ne trahi aucun désir. Il est morne et maitrisé, cachant sous le bleu clair de ses iris son propre désir: il disait qu'elle n'était plus une enfant depuis bien longtemps, l'innocence partie en fumée bien trop tôt.

Et lorsque l'homme perdu dans ses propres limbes lui saisit les poignets, l'adolescente ne cherche pas à lui résister: elle ne se dérobe pas à son étreinte, aussi appuyée soit-elle. Mais elle n'est pas docile: son regard rapace parle pour elle et semble dire qu'il ne lui fait pas peur; que rien ne lui fait peur. Mensonges. Mais lorsqu'il la regarde, la brune soutint son regard, sans fléchir, comme pour lui prouver qu'elle savait rester maitresse de ses émotions et qu'elle assumait en adulte les situations qu'elle créait.

"J'essaye de faire l'amour avec vous, parce que j'en ai envie", répondit-elle très sincèrement en soignant sa diction, bien étrangement.

Pas besoin de mentir dans ces moments où seule la vérité est bonne à dire et à prendre. Toujours aussi atone, Jerrica laissa monsieur Applegate se dégager et la basculer sur le canapé pour se lever. Elle l'observa sans rien dire, s'asseyant sur le canapé en croisant ses jambes en tailleur, posant ses mains sur ses chevilles croisées. Il avait besoin de boire, ou de marcher; peut-être les deux. L'homme qui cherche sa consistance. Elle sourit sans joie, un peu moqueuse en silence et lorsqu'il la fixe, elle soutint son regard, le fixant de même. Juste une étude de cas. Et quel cas.

Ce ne serait pas forcément facile mais Jerrica, sous ses dehors de marginale désintéressée, était aussi une enfant gâtée qui avait toujours obtenu par la ruse et la patience plus que par la gentillesse et les caprices sauvages; elle avait la tête froide même durant les moments de désir, l'intelligence pratique. Et elle savait ce qu'elle voulait. Applegate lui saisit la mâchoire et elle ne fit rien pour l'en empêcher, relevant simplement crânement la tête, le visage inexpressif, maitresse d'elle-même. La brune le regarda dans les yeux, très simplement. Directement dans les yeux, ces miroirs de l'âme.

L'homme saisit entre ses doigts un peu humides un de ses pendentifs, celui qui représentait un casque d'hoplite. Quand il lui posa sa question, elle ne lui répondit pas tout de suite, le regardant toujours.

"C'est un casque de guerrier grec. D'hoplite."

Cela ressemblait à une marotte d'adolescente marginale, mais il n'en était rien, car cela avait du sens pour Jerrica: les hoplites étaient de toutes jeunes hommes, sortant à peine de leurs rôles d'éromènes: des adolescents soumis à la pédérastie "éducative" devenant des fantassins lourdement armés. Elle se comparait à eux, un peu bêtement: sortie de l'enfance par Roman, elle s'armait contre le monde entier. Elle voulait être un hoplite; un spartiate. Pour mener sa guerre à l’Humanité qu'elle haïssait tant.

Son regard toujours éteint montrait pourtant cette haine brûlante qui l'animait et qui n'était pas réellement destinée à l'homme en face d'elle, qu'elle désirait simplement. Jerrica ne bougea pas face à Applegate, le regardant peiner sans esquisser le moindre geste, ni d'incitation ou de repentir.

"Dix-huit ans", dit-elle avec un sourire un peu tordu, fouillant dans sa poche pour en sortir sa Driving Licence qui attestait son âge, "et mes vaccins sont tous à jour et je ne suce plus mon pouce depuis longtemps, Applegate."

Jerrica haussa aveuglement les épaules lorsque l'homme la lança sur le sujet de son désir pour lui.

"Pas spécialement. Je devrais vouloir vous baiser par dépit, selon vous?"

Elle ricana, un peu mauvaise en ôtant finalement son pull en le prenant par le bas, découvrant son t-shirt moulant noir imprimé d'un thorax de squelette, faisant cliqueter ses pendentifs en étain. Elle était menue et délicate, un peu maigre, livide. La peau sans autre défaut que quelques cicatrices faite à vélo ou en tombant, sans boutons ou rougeurs: elle avait passé l'âge du Biactol.

"J'ai seulement envie de faire ce qui me fait envie", elle le fixa intensément en se grattant une clavicule, "j'assume, parce que ça n'a pas de sens de ne pas le faire."

Elle baissa son regard vers l'entrejambe d'Applegate, un peu turgide sous le tissu de son pantalon.

"Tu bandes", elle lui fit un simple geste de la main, "viens, j'vais t'aider."

Ni vraiment aguichante, ni minaudeuse, Jerrica était une drôle de fille transpirant une sincérité blessante et sans concession. Pas de sourire, pas de chaleur, malgré son envie simple et vraie.

Mais l'invite était là, de la main tendue.
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MessageSujet: Re: JERRICA X if you're going through hell, keep going [Hot]   JERRICA X if you're going through hell, keep going [Hot] EmptyVen 1 Mar - 3:45

Le regard trouble, il observe les pendentifs autour du cou de l'adolescente. Mais les mots explicatifs qu'elle lui donne pour répondre à sa question glisse sur lui sans pour autant pénétrer son esprit. Pour lui, ce n'est rien d'autre qu'une de ces babioles de gamine qu'on trouvait dans ces magasins de fringues pour les jeunes et dans lesquels Helena aimait le traîner pour "renouveler sa garde-robe". Une grimace tord sa bouche rien qu'au souvenir de ces douloureux moments auxquels il échappait enfin maintenant. Une nouvelle gorgée de vin vient accompagner son désintérêt pour la jeune fille toujours assise dans son canapé. Même si il était ivre, une petite voix au fin fond de l'océan d'alcool qui macérait en lui lui répétait en boucle qu'il ne devait ni ne pouvait céder à la facilité de la laisser profiter de son corps. Et pourtant, ce serait tellement simple. Il s'allongerait sur le canapé, l'affaire serait réglée en cinq petites minutes et elle repartirait déçue. Comme si il pouvait lui donner autre chose de toute façon. Il essuie son visage à l'aide de la paume de sa main libre comme pour chasser les idées qui arrivaient malgré tout à fleurir dans son cerveau. Elle pouvait être sa fille, elle connaissait sa fille ... il y avait bien trop à perdre pour quelques instants de plaisir sûrement non partagées vu son taux d'alcoolémie. Même si il n'était pas vieux, enfin pas encore tout à fait, la dépression et l'abus de divers substance avaient fini par nuir grandement à grand nombre de ce qui faisaient ses qualités autrefois. Une grimace apparaît à nouveau sur son visage quand résonne à ses oreilles son nom de famille. Comme le chant amer du rappel de ces échecs et de ce nom qui fut un temps était autre chose qu'un boulet à raté.

Un rire gras échappe de ses lèvres quand elle le questionne sur les raisons qu'elle devrait avoir de coucher avec lui. Il boit une gorgée du liquide rouge, pose son verre sur la table du salon et s'effondre à côté d'elle dans le canapé.
-J'devrais être la dernière personne que t'aies envie de baiser sur cette putain de planète, gamine.
Ses yeux vitreux se perdent dans le vide, fixant sans le voir le meuble télé de l'autre côté du salon. Il tourne la tête, lentement, en la sentant remuer à côté de lui. L'homme avachi s'attarde un instant dans la contemplation de ses formes de femme. Courbes féminines et pourtant si jeune. La part des choses était décidément difficile à faire, l'alcool n'aidant plus vraiment à ce stade à poser clairement les limites du bien et du mal. Cependant, il ne fait pas un geste vers elle. Son visage n'exprime rien à part une lassitude proche du coma alors qu'il se perd dans l'observation minutieuse de sa gorge nue.

Finalement, c'est le mal de crâne qui lui fait fermer les yeux alors que sa nuque se pose sans douceur sur l'assise du canapé. Alors qu'il appuie ses paumes sur ses paupières closes, il rit à nouveau. Assumer ses envies. Elle n'avait pas la moindre idée de ce dont elle parlait. Il était comme un mauvais tatouage, le genre de truc qu'on est sûr de vouloir en étant gosse, qu'on finit par faire dans le dos de nos parents et qu'on regrette pour le restant de nos jours. Ou dont on se souvient comme un mauvais souvenir, une leçon de vie qui nous rappelle ce dans quoi on ne veut plus jamais retomber. Autant lui éviter tant de désillusion dans l'immédiat. Peut-être que les épaves vieillissantes étaient revenues à la mode ou qu'il était un précurseur d'une nouvelle tendance. Il hausse des épaules face à ses réflexions intérieures avant de pencher le menton vers elle et de reporter immédiatement son regard vers son entrejambe. Un peu plus et il avait oublié ce réflexe dû à l'excitation précédente. Il sourit un peu avant de prendre la main de Jerrica entre ses doigts moites. Un baiser fade déposé sur ses phalanges, il la relâche, fermant à nouveau les yeux, mains croisées sur son ventre nu.
-T'inquiète pas, dans 5 minutes ce sera fini.
Le temps que l'alcool tue ce qui restait de sa masculinité et n'achève de faire de lui un légume à moitié mort dans un salon qui empestait la cigarette et le picon.
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MessageSujet: Re: JERRICA X if you're going through hell, keep going [Hot]   JERRICA X if you're going through hell, keep going [Hot] EmptyMar 5 Mar - 0:22

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Jerrica, sur son bout de canapé, ne semblait pas vouloir se montrer coopérative vis-à-vis du père de Suzie; quand elle avait une idée en tête elle ne l'avait pas ailleurs et se faisait un malin plaisir à tourmenter le pauvre homme non pas avec une attitude aguicheuse, mais pragmatique, froidement et affreusement terre-à-terre; mais c'était vrai: elle était incapable de la moindre forme de regret. Comme ces mornes adultes sans fantaisie, elle se faisait un mot d'ordre d'assumer tout ses dires, toutes ses fantaisies, tout ses actes avec un naturel qui confinait parfois à l'immoralité, plus qu'à la bêtise. Les remords, les regrets, c'est bon pour ceux qui n'assument pas.

Elle ignora ses grimaces et son rire gras, se contentant d'ôter son sweat, se grattant un instant la base de la nuque; ses pendentifs tintinnabulèrent l'un contre l'autre et son débardeur laissât entrevoir une peau pâle, presque lunaire, imparfaite et un peu grasse; ses avant-bras laiteux étaient parcourus ça et là de petites cicatrices blanches anciennes, marques de son mal-être, et d'autres, plus récentes -encore rose et plus fraiches. A peine quelques unes, très légère, comme tracé au fil d'une lame de rasoir. L’adolescente se releva du canapé lorsque l'homme s'y affala en terminant son verre de vin, quittant ses converses en les retirant d'un geste du pied contre le talon opposé, sans les mains, les envoyant valdinguer au loin.

"Bof, je n'ai jamais pensé à baiser mon père, à vrai dire. Donc je pense que vous n'êtes pas le dernier sur la liste", répondit-elle un peu abruptement, cynique.

Son regard bleu se perdit dans l'étude de celui de l'homme qui sembla détailler enfin ses courbes de femme d'un œil rond et absent; cela lui importait peu. Elle était petite et menue; ôtant son débardeur trop grand, la brune révéla un torse d'une étonnante fragilité, aux côtes ciselés sous la peau fine. Une fille maigre et pâle qui n'avait pourtant plus rien de l'enfance, tout en semblant entre deux âges charniers. Une fille maigre et pâle au visage ni ingrat, ni plein de superbe, aux yeux bleus éteints qui n'avaient aucun charme particulier. Maigrichonne plus que svelte; maladive plus que diaphane.

Lui n'est pas vraiment beau non plus, quand elle le regarde; il a ces drôles de lèvres purpurines dont a hérité Suzie, un peu trop féminines pour un homme avec ce visage. Une barbe presque rousse et un teint étrange, des yeux clairs un peu chassieux. Son corps n'est pas le plus musclé qui soit; elle s'en moque, défaisant sa ceinture sans faire d'histoire en le laissant végéter à son aise. Et lorsqu'Applegate lui prit la main pour frôler ses phalanges, elle n'eut pas d'expression particulière. Une simple crispation. Elle n'aimait pas tant que cela qu'on la touche, en réalité. Son oncle Roman n'était pas étranger à ce fait.

Ses doigts à lui sont moites; sa main à elle est froide et rêche. Elle s'assoit à côté de lui sans rien dire, le pantalon à moitié ouvert, seins nus, pieds nus. La moitié du travail est fait. Elle le regarde quand il parle, se foutant tellement de ses dires, défaisant sa ceinture à lui pour fourrer sa main dans le pantalon à la recherche direct du membre viril qu'elle trouva flaccide entre ses doigts, le sortant du caleçon. Elle le flatte un instant, sans chercher à y mettre de fausses formes: une masturbation simple, et efficace, sans salamalecs.

Elle ne le regarde pas, concentrée sur son ouvrage en espérant lui donner assez de vigueur pour plus tard parvenir à l’enfoncer en elle. Pas encore; elle fronce les sourcils et se penche vers lui, tirant un peu sur le pantalon de l'homme pour lui rabattre sur les cuisses. C'est moche, les cuisses d'un mec. Elle entrouvre doucement sa bouche pour passer la tête du sexe légèrement turgescent entre ses lèvres et le faire glisser sur sa langue, tapis chaud et humide; à mesure qu'elle le prend dans sa bouche, Jerrica referme son étreinte sur le sexe de David, le flattant par un moyen plus intime, plus présent, sans plus utiliser ses mains.

Elle avait bien le temps, et la ressources. S'il ne parvenait pas à trouver la vigueur qu'il fallait avec ça, elle avait d'autre moyen de prendre son plaisir avec ce type-là. De ces choses qu'on ne pratique pas à son âge; de ces choses un peu surréalistes que les hommes n'aiment pas en général. Cependant pour l'instant, penchée en travers de ses cuisses, la jeune fille aspirait son sexe avec plus de conviction, les mains accrochées aux bords du pantalon de ce drôle de partenaire.
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MessageSujet: Re: JERRICA X if you're going through hell, keep going [Hot]   JERRICA X if you're going through hell, keep going [Hot] EmptyDim 10 Mar - 12:19

Il se fichait bien de ce qu'elle avait à dire. La réalité restait la même. Elle avait 18 ans, même pas l'âge de boire légalement et il en avait 38. 20 ans de plus qu'elle et peu importe ce qu'elle disait, le baiser lui revenait dans l'esprit de l'alcoolique à baiser son père. Il était peut-être un peu moins fréquentable que le paternel de la famille Favorite et sûrement plus mal en point à ce moment précis. Même en y mettant du sien, il n'arrivait pas à comprendre ce que voulait cette gosse assise à côté de lui. A part gagner un pari stupide ou se prouver à elle et au reste du monde qu'elle était capable de tout, comme le voudrait tous les adolescents de cette ville de malheur. Sa main dans la sienne, il ferme les yeux, presque comateux à présent. L'alcool et la drogue le laissaient mou et incapable de geste pour l'instant si bien qu'il ne réagit absolument pas quand elle rompt tout contact avec lui pour retirer son débardeur, à présent à moitié nue dans son salon. Un oeil à moitié ouvert, il suit vaguement la scène, n'arrivant même plus à savoir si elle était vraiment là ou non. Peut-être qu'il était lui-même en train de défaire sa ceinture, de baisser son pantalon et d'empoigner son sexe. Peut-être qu'elle n'était qu'une machination de son esprit, une hallucination due au joint qu'il avait fumé tout à l'heure, peut-être que cette connerie était de mauvaise qualité et qu'il allait dans quelques instants, passer l'arme à gauche.

Aucune réaction, voilà tout ce dont il était capable en sentant son sexe se raffermir un peu au contact des mains froides de l'adolescente. La tête posée sur l'assise du canapé, bouche légèrement entrouverte, on aurait pu croire qu'il venait de s'endormir. Mais brusquement le contact change, sans qu'il ne réussisse à s'expliquer pourquoi. De froid, il avait viré à chaud et bien malgré lui, il semblerait que les réflexes les plus primitifs de son corps soient encore opérationnels. L'homme ouvre les yeux, fixant le plafond sans un sourire malgré le plaisir qui commençait à se répandre entre ses cuisses à vagues régulières. Son regard se pose sur les cheveux noirs qui montent et descendent au-dessus de sa virilité. Helena aussi aimait lui faire ce genre de choses quand ils étaient encore dans leur petit appartement de Las Vegas. Et qu'est-ce qu'il aimait dans ces moments-là caresser ses cheveux blonds, observer son visage, la voir ensuite se détacher de son sexe pour venir l'embrasser avec sa démarche féline. La vérité ? Elle lui manquait terriblement et il en prenait doucement conscience même si avec son taux d'alcoolémie, il aura sûrement tout oublier au petit matin. Ses yeux s'humidifient alors qu'il les referme, la tête en arrière. Sa main glisse dans les cheveux de l'adolescente dont il appuie la tête vers sa virilité sans grande conviction, entremêlant des mèches entre ses doigts. De toute façon, elle n'était qu'une hallucination comme les autres, enfin en tout cas, c'était la conclusion qu'il avait fini par tirer de toute cette histoire. Une larme roule sur sa joue alors qu'il se met à sangloter.
-Helena ...
Il répète son prénom plusieurs fois, dans un murmure, comme si ainsi, il pouvait contrôler son hallucination. Faire disparaître l'adolescente au profit de sa femme, retrouvant ses seins pleins et sa peau douce, son parfum de rose et ses joues rouges dès qu'il l'embrassait dans le cou. Il agrippe les épaules de l'adolescente, la forçant à se redresser et la regarde à nouveau, les yeux humides. Elle n'est pas blonde, loin, très loin de la féminité tendre de Helena et pourtant, il ne voit rien d'autre que le visage de sa femme qui lui sourit doucement, l'invitant à approcher. Ne pouvant retenir ses larmes, il enfouit son visage dans son cou, serrant sa taille entre ses doigts, se fichant de ce qui était vrai et de ce qui ne l'était pas.
-Il faut que tu me pardonnes. Je t'en prie ... pardonne-moi.
Entre deux sanglots, ses lèvres se perdent contre le cou de l'adolescente. Ses mains descendent jusqu'à ses reins. Il la voulait tellement, à moitié fruit de son imagination et réalité incompréhensible.
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MessageSujet: Re: JERRICA X if you're going through hell, keep going [Hot]   JERRICA X if you're going through hell, keep going [Hot] EmptyMer 10 Avr - 19:24

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Elle le touche et lui ne réagit pas, comme s'il se trouvait dans un ailleurs lointain; et elle ne s'en soucie pas, l’adolescente dédié exclusivement à son propre plaisir, ses propres intérêts. Ses yeux fixes et froid ne montraient aucune émotion, même pas de dégout tandis que monsieur Applegate restait mou comme un pauvre minable alcoolisé. Le sexe parlera de lui-même, se raffermissant à grand-peine. Cela ne fait que confirmer à Jerrica que les hommes ne valent pas un clou: ils ne sont que des porcs qui ne savaient même pas bander droit. David en est la preuve; et pourtant elle le prit dans sa bouche, faisant de sa langue un tapis chaud et humide qui insistait pour tirer de l’homme ce qu'elle voulait obtenir.

La brune, les mains accrochées à la ceinture de son pitoyable partenaire, restait focalisée sur ce qu'elle faisait sans perdre patience. Elle le suçait sans hâte, sans maladresse; des gestes maintes fois reproduit, presque robotiques, sans plaisir personnel: juste un moyen. Ce n'était pas qu'elle n'en avait pas envie, mais c'était juste une façon, pas un désir. Et pourtant un émoi plus sincère, grandissant du contact plus turgide dans sa bouche, vint poindre au fond de ses viscères, naturel, tandis qu'elle baissa complètement le pantalon de monsieur Applegate. Elle sentait ses mains dans ses cheveux, comme une incitation involontaire, sans force. Il appuie sur sa tête en lui donnant l'impression de vouloir la contraindre, même si c'est faux.

Elle à soudain envie de le mordre à lui arracher le sexe, de le sucer jusqu'à la moelle des os; de le baiser et le baiser encore par haine, jusqu’à ce qu'il crève.

Et lorsqu'il appelle sa femme tandis qu'elle lui prodigue ses soins, Jerrica a envie de rire, de se moquer: le sexe de David dans sa bouche l'en empêche, mais ce n'est pas plus mal. Espèce de minable, démuni sans sa femme comme un enfant. David la redressa, et elle, docile, se laissa faire. Mais tan,dis qu'il pleurait, Jerrica ne lui offrit rien du tout; tout au plus était-elle juste physiquement là,avec ses yeux clairs, fixes et complètement froids, le laissant pleurer. Il y avait un étrange plaisir au fond d'elle, sans que son visage n'exprime rien: la peine des autres ravivait en elle l'envie double d'un Autre elle elle, se nourrissant de la douleur de cette humanité que tout deux haïssaient du plus profond de leur cœurs aussi vermoulu que du bois mort.

La brune le laissa se cacher contre elle, au creux de son cou; son corps était froid et moite, sans trace d'excitation. Sans rougeur,s ans souffle précipité: sa respiration était calme et sereine. Elle ne fit rien, à part attendre, et écouter. Pauvre déchet. Et ses yeux regardait en face d'elle, un point imaginaire qui n'existait que dans son esprit; et ses pupilles semblaient dire: "je vais te bouffer tout entier, et je dégueulerai tes os". Comme si elle avait la possibilité, enfin, d'abuser de quelqu'un comme on l'avait abusée quand elle était petite. De se venger sur quelqu'un d'autre.

Elle ne répondit rien; le pardon est une chose qu'elle ne comprenait pas; elle se fichait de la situation du père de Suzie, de ce qu'il ressentait; tout ce qui l’intéressait, c'était d’engouffrer en elle ce sexe difficilement turgescent, et de le laisser dans sa merde une fois qu'elle aurait jouit de lui. Pour cette raison, elle le repoussa simplement en arrière, le couchant sur le canapé avant de se mettre debout et d'ôter son pantalon et son boxer en même temps, dans un seul mouvement. Rien de sensuel, rien d'érotique. Juste de la mécanique anatomique.

Grimpant sur le canapé, Jerrica surplomba David en saisissant son sexe, guidant la tête nue de toute protection contre l'entrée de son sexe pour la frotter contre, dans l'espoir de s'exciter d'elle-même: il ne l'aiderait surement pas sur ce point. La lubrification se fit naturellement, et elle tira un préservatif de la poche arrière de son jeans resté au sol pour le coller sur ce sexe plein d'espoir et de déceptions à la fois.

"Tire ton coup, maintenant... et arrête d'essayer de penser."


L'adolescente avait dit cela d'une voix lasse, poussant un soupir tandis qu'elle chevaucha l'homme et engouffra son sexe en elle d'une traite, s’occasionnant une douleur vive et lancinante à la fois, posant ses mains sur son torse pour donner le rythme. Son corps juvénile se tendit de lui-même, sans le moindre bruit, et elle accéléra à son aise sans se soucier de David, comme s'il n'était qu’un objet sexuel.

C'était exactement ce qu'il était elle: un sexe avec quelque chose de négligeable autour.
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MessageSujet: Re: JERRICA X if you're going through hell, keep going [Hot]   JERRICA X if you're going through hell, keep going [Hot] EmptySam 20 Avr - 16:14

Peu de gens sont capables de comprendre la dépression. La plupart se contente de lui dire de passer au-dessus de ses problèmes, de prendre un nouveau départ. Comme si tout ça était simple, qu'il n'y avait qu'à appuyer sur le bouton "echap" de son cerveau pour sortir de ce cauchemar. Mais la réalité était bien plus dure que les mots de réconfort qu'il avait pu glaner ici et là. Et ce n'était pas sans avoir essayé. Helena avait bien réussi à le traîner aux alcooliques anonymes mais l'appel de la bouteille restait la seule chose pouvant réellement apaiser sa misérable vie. Et aujourd'hui malheureusement, l'effet attendu n'était pas au rendez-vous. Les yeux embués de larmes, son pantalon sur les chevilles, une gamine entre ses cuisses, peut-être que c'était là qu'il touchait réellement le fond. Comme on atteint un point de non-retour, abandonnant tout espoir de pouvoir faire marche arrière. Il passe ses doigts dans ses cheveux, cherchant contre le corps de cette fille tout juste sortie de l'enfance une trace de réconfort. Mais il aurait tout aussi bien pu passer ses bras autour d'une bouteille de whisky, tout aussi froide, silencieuse et insensible à sa peine. Ses yeux clairs s'attardent un instant sur son visage dénué d'expression. Dans la pénombre particulière de cette fin d'après-midi, elle semblait plus vieille, presque différente que cette ado gothique qu'il avait parfois accueilli quand elle rendait visite à Suzie. Est-ce que tout ça était réel ? Est-ce qu'elle était réelle ? A vrai dire, il n'en savait rien. Ses mains se referment pourtant sur de la peau, c'est indéniable, aussi froide soit-elle. Mais cette absence de toutes les autres choses qui pourtant font un être vivant semble l'avoir délaissé. Elle n'est peut-être qu'une hallucination, une figure sortie tout droit de son esprit désespéré par la solitude et l'abandon au point de créer autour de lui des figures d'apparence humaines mais plus froides que des statues.
Et la suite des événements ne faisait qu'approuver cette théorie fumeuse qui était pourtant la seule qui faisait sens à son esprit. La tête appuyée sur l'accoudoir du canapé, il observe silencieusement, la bouche entrouverte, fixant ce sexe ridiculement manipulé comme si il appartenait à un autre. Ses bras lui semblent lourds, posés ainsi de chaque côté du canapé mais il aurait bien du mal pour en faire autre chose. Presque malgré lui, un soupir lui échappe quand on introduit cette chose dans le corps de la gamine, sorte de soulagement mêlé à l'incompréhension. Il rouvre les yeux, fixant d'un oeil vide sa poitrine qui se soulève et retombe à chacun de ses mouvements de rein. Un nouveau clignement et il lui semble apercevoir les cheveux blonds d'Helena, son sourire malicieux, la façon qu'elle avait de glisser ses mains contre son corps, d'appuyer contre ses seins plein à chaque fois qu'il s'enfonçait en elle. Puis elle disparaît, laissant place à une face sans visage, à celui de Lucy, de la voisine croisée le matin-même, de Suzie même parfois, le faisant grimacer d'effroi contre son esprit à l'imagination dérangée. Cette hallucination le rendait dingue, ses yeux baignant à nouveau dans les larmes sans pour autant qu'elle ne s'écoule, cherchant par tous les moyens à contrôler ces changements de visage inexplicables.
Sa main attrape le cou de l'adolescente, peut-être trop violemment pour que ça ne puisse rentrer dans le cadre d'un échange entre deux adultes consentants, ce qu'ils n'étaient pas vraiment en fin de compte, ni l'un ni l'autre. Sa paume appuie plus fort contre ses voies respiratoires alors qu'il tente vainement de reprendre le contrôle des coups de rein, sentant malgré lui ses forces l'abandonner de ce côté-là. Son regard se perd à nouveau sur le visage sans identité fixe, création alambiquée de son cerveau rendu malade, retrouvant les traits d'Helena. Mais il n'était plus temps de se laisser berner d'illusion. D'un geste de la main, il la repousse, rompant hâtivement leur échange plus que décevant. Mais loin de vouloir en rester là, il reprend sa gorge avec force, la soulevant du canapé en cuir pour plaquer son corps pâle contre le mur. Sa main ne tremble pas même si la grimace qui défigure son visage traduit facilement les émotions qui le traversent. La colère guide ses pas tout contre elle, ses dents grinçant les unes contre les autres, incontrôlable alors qu'il presse sa cuisse contre l'entrejambe de l'adolescente menue.
-Qu'est-ce que tu veux ? Qu'est-ce que tu me veux ?
Il ne peut s'empêcher de hurler, s'appuyant un peu plus violemment contre elle. La question ne lui est même pas adressée directement, ne cherchant qu'à élucider les mystères de cette chose à l'apparence changeante. Pendant quelques secondes, il entrevoit le visage pâle et sans émotion de Jerrica, relâchant légèrement sa poigne, comme pris d'un doute sur ce qu'il avait en face de lui. Mais la bouche rouge d'Helena lui saute à nouveau au visage, ses yeux implorants, pitoyables et gonflés d'avoir trop pleuré. Elle articule encore et encore les mêmes mots, son prénom dans un murmure étouffé. Le coup de poing part tout seul, s'écrasant contre le revêtement en plâtre dans un bruit d'os craqués. Une douleur diffuse envahit son avant-bras alors qu'il frappe à nouveau, puis encore, jusqu'à ce que le sang perle de ses articulations.
-Arrête ça !
Un nouveau cri alors qu'il appuie son front contre celui de l'adolescente, haletant, un nouveau semblant d'érection contre son bas-ventre. Sa poigne se desserre autour de sa gorge sans pour autant la lâcher, soulevant sa cuisse avec autorité pour s'introduire en elle d'un mouvement de rein brusque, sans cérémonie, continuant à répéter à son oreille ses supplications d'enfin mettre un terme à ses divagations cérébrales.
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