Lucy ♦ La vie est une grande patinoire où je me casse la gueule.

Bonjour à tous, je m'appelle Lucy Prudence mais mes proches me surnomment "Lu", je suis née dans la famille Scott le 28/09/1984, ce qui me donne aujourd'hui l'âge de 29 ans, à Portland, USA. Pour les intéressés, je suis Institutrice, et pour les plus curieux, je suis Célibataire. Et en ce qui me concerne, je suis une Historienne.

☆ Mes Qualités : Affectueuse, tendre, patiente, honnête, souriante, pleine de vie et enjouée.
☆ Mes Défauts : Casanière, autoritaire, susceptible et langue de bois.
☆ Ce que j'aime : ma famille, mes élèves, la pizza mozzarella/jambon, les soirées romantiques, les films fantastiques, les sorties entre copines.
☆ Ce que je déteste : Les choux de Bruxelles, me lever trop tôt, les bouchons aux heures de pointes, les gens hypocrites et malhonnêtes.


☆ Mes Cheveux : Longs noirs.
☆ Mes Yeux : Noisettes.
☆ Ma Peau : Halée.
☆ Ma Taille : 1m60
☆ Un Signe Particulier : Un tatouage en bas de mon dos représentant un symbole occulte.

Salut les cocos ! Je suis Mii on the Stick, j'ai 29 ans, et je suis arrivée ici par l'intermédiaire de mon génie *.* //PAN//. J'utilise Kristin Kreuk comme avatar. Le code du règlement est validé par moi-même o/.

À Bientôt pour de nouvelles aventures !

Mon psy a fini par me conseiller de tenir régulièrement un journal intime et d'y consigner tout ce que je me rappelle de ma vie depuis le début jusqu'à aujourd'hui... Il fallait bien que je m'y mette un jour.

Je m'appelle Lucy, je suis née le 28 Août 1984 à Portland. Je ne peux pas dire que ma vie fut difficile : mes parents bossaient tous les deux mais nous étions relativement aisés, j'ai grandi dans une grande et belle maison, j'ai été choyée et aimée avec mon grand frère et mes deux grandes sœurs. Oui, je suis la benjamine de la famille Scott.

À l'école, mon caractère a fait que je me suis faite tout plein d'amis. J'adorais tout le monde et tout le monde m'adorait, sans aucun effort. Je n'aime pas les hypocrites et préfère largement être seule plutôt que de jouer ce jeu-là ! Heureusement, ça ne m'arriva pas. J'ai grandi avec des valeurs comme le respect, l'amitié et la gentillesse. Sans être forcément la coqueluche du collège, je me savais quand même appréciée et même si ce n'était pas le cas, cela m'importait peu, tant que ma famille était là pour me soutenir.

Je n'ai jamais été du genre à accorder trop d'importance à ce que les gens peuvent dire, que ce soit devant moi ou derrière, on m'a toujours appris à ne me fier qu'à mon opinion propre, que je devais rechercher la vérité moi-même plutôt que de l'entendre de quelqu'un d'autre, parce qu'elle est si difficile à connaître justement et qu'elle se déforme très vite et trop facilement. Ce qui m'a tout naturellement poussée vers l'enseignement. J'ai toujours aimé le contact des enfants et ils me l'ont toujours bien rendu. C'est pourtant dommage que je n'en ai pas encore eu moi-même et ce n'est pourtant pas l'envie qui m'en manque. Juste attendre un homme avec qui je me sentirai assez en confiance pour avoir envie de faire un bout de chemin avec lui, et on verra bien.

Pour autant, j'aime toujours m'amuser et sortir, je fais des rencontres, assez étonnantes parfois, mais j'aime aussi rester chez moi, sur mon pc, à jouer à des jeux, n'importe lesquels (sauf les FPS parce que je suis assez sensible et que je n'aime pas être sous pression). À l'âge de dix ans pourtant, j'avais rencontré un garçon avec qui j'ai grandi, que j'ai aimé et qui m'a aimée également... Mais son avenir était plus important... Au sortir de l'université, alors que nous avions projeté de vivre ensemble, il a préféré son métier de journaliste et est parti parcourir le monde sans moi, moi qui ne voulais pas être délogée de Portland. Allez savoir pourquoi mais il m'était impossible de partir de cette ville, alors que je savais pertinemment que je pouvais y revenir...

Alors nous avons rompu... Mais je n'arrive même plus à me souvenir de si je l'aimais ou non, je crois que la douleur de la séparation m'en empêche. Je ne sais pas ce qu'il est devenu et je ne souhaite pas le savoir, je ne veux pas voir resurgir ce bonheur enfui parce qu'il n'avait pas voulu se contenter d'un peu moins que son rêve, chose que j'aurais refusé également... Qui a dit que j'étais sensée être logique ? Je lui en aurais voulu, qu'il reste ou qu'il parte...

Enfin... C'était y a quelques années maintenant. Aujourd'hui, je suis institutrice de maternelle, je suis tante de deux adorables fouines, et je mène ma vie comme je l'entends. Mais je ne peux me défaire d'une sensation étrange depuis quelques temps... Je n'arriverai même pas à mettre le doigt dessus, sauf que ça revient un peu comme un refrain lancinant qui nous échappe à chaque fois qu'on est sur le point de s'en rappeler. J'essaie de passer outre, ça marche la plupart du temps, sauf que ça revient maintenant de plus en plus souvent, comme si j'étais branchée sur une fréquence que personne d'autre ne peut entendre, c'est assez désagréable comme sensation...